[BOËN-THIERS] Les négociations État-Région ont démarré dans le cadre du CPER 2023-2027. | @laurentwauquiez @Aguilera_Fred #reouverture #ThiersBoën @Mobilitesmag @Elisabeth_Borne @david_valence @auvergnerhalpes @CBeaune @SteMetropole @prefetrhone @Prefet63 @saint_etienne_ @Prefecture42 @judith_husson @ClermontFd @ClrmntMetropole

8,6 milliards d’euros.

Tel est le montant que l’État apportera à l’ouverture des négociations du volet « mobilités » pour la période 2023-2027 des contrats de plan État-région (CPER), des contrats de plan interrégionaux État-régions (CPIER) et des contrats de convergence et de transformation d’outre-mer (CCT). « Soit un effort financier annuel en hausse de 50% par rapport aux contrats conclus sur la précédente période des contrats (2015-2020, prolongée jusqu’en 2022) » – dont le taux de réalisation serait de près de 96% –, souligne le gouvernement.

La feuille de route du gouvernement pour les CPER n’a pas été présentée comme prévu ce 7 juin en conseil des ministres par le ministre délégué aux Transports, Clément Beaune, a indiqué un porte-parole à l’AFP. Mais les préfets vont tout de même recevoir leurs lettres de cadrage, pour discuter avec les régions – mais aussi avec les agglomérations pour les futurs RER métropolitains, dont l’appellation officielle est désormais « services express régionaux métropolitains » (Serm).

« Dans les contrats précédents, l’État mettait moins de 50% et les régions un peu plus. On attend à peu près la même répartition », a précisé Clément Beaune dans des interviews à de grands titres de la presse quotidienne régionale.

La France vise une baisse des émissions du secteur des transports de 28% d’ici à 2030 et une décarbonation complète pour 2050. Pour répondre à cette ambition, le train semble un élément structurant dans la proposition de transport décarboné.

Depuis 2016, la substitution des trains par des autocars sur la section centrale n’est pas attractive, ni en termes de confort et de temps de parcours. Elle prive de nombreux usagers de prendre les mobilités à faible émission de GES et de se déplacer tout simplement ! Une rupture de charge est même nécessaire en gares de Thiers et Boën, quand la correspondance fonctionne…

Depuis le début des années 2000, la section Thiers-Boën est le symbole de la dégradation du service public en général dans les territoires oubliés de la République et d’un désinvestissement vis à vis du ferroviaire en France alors que la loi d’orientation des mobilités indique clairement la nécessité d’appliquer le principe de l’égalité de traitement des citoyens en matière de mobilités et d’équité territoriale.

L’association LeTrain634269 rappelle que le transport ferroviaire est donc le mode de transport le mieux adapté pour les déplacements moyenne et longue distance.

Il est rapide, confortable, sécurisé par tous les temps, économique, écologique, facteur d’attractivité et véritable produit de l’économie locale. Un atout maître dans le contexte actuel.

Les habitants du Forez méritent un projet ambitieux de connexion entre 2 grandes métropoles afin de désenclaver leur territoire et préparer la montée en puissance inéluctable des déplacements de populations vers cette zone de moyenne montagne.

En reliant les bassins de mobilité de la région du Forez et de la Limagne cela permettra de créer un troisième pôle générateur de richesses et d’échanges au cœur du Forez.

Cette dynamique collective permettra de mettre en place une véritable synergie entre les différents acteurs locaux, pour un développement économique durable et équilibré.

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Mobilisons-nous toutes et tous pour réparer en urgence la plus consternante et absurde suspension ferroviaire française de ce début de 21ème siècle entre Clermont-Ferrand et Saint-Étienne, les deux seules métropoles françaises qui ne soient pas reliées entre elles.

Réparons cette fracture territoriale et sociale à l’heure où l’urgence climatique et la complémentarité des bassins de vie sont au cœur des préoccupations de chacun.

Cette véritable colonne vertébrale des mobilités bas carbone doit être au service d’une équité territoriale digne et durable au cœur de la région Auvergne-Rhône-Alpes pour 1 million d’habitants.

Le train, colonne vertébrale des mobilités, puissant vecteur d’aménagement du territoire entre 3 grandes métropoles de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et levier incontournable de la transition écologique et sociale.


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