Questionnaire: Imaginons la réouverture de la liaison ferroviaire Clermont-Fd St-Étienne par Thiers et Boën. @auvergnerhalpes @CeremaCom @LesMontsquiPetillent

Afin de mieux connaitre vos déplacements d’aujourd’hui et entendre votre rêve de train mais également vos besoins le long de l’axe Clermont-Fd Saint-Étienne, nous vous invitons à prendre un peu de votre temps et répondre à un questionnaire dont vous trouverez le lien ci-après :

Grâce à votre aide, nous allons imaginer ensemble ce que pourrait-être une liaison attractive au service des territoires, colonne vertébrale des mobilités bas carbone essentielle au million d’habitants le long de cet axe structurant au cœur de la région Auvergne-Rhône-Alpes alors que nous traversons une époque où les enjeux sont multiples et urgents.

Merci à vous !


Retrouvez nous sur les réseaux sociaux: 

Le train, colonne vertébrale des mobilités, puissant vecteur d’aménagement du territoire entre 3 grandes métropoles de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et levier incontournable de la transition écologique et sociale.

Jacky GRAND (Conseiller départemental 63) – ” L’axe Clermont-Thiers-St-Étienne est un axe central qui irrigue un territoire “

Alors que nous assistons à un véritable bouleversement dans le paysage des mobilités, une prise de conscience environnementale et des attentes fortes sur le report modal en faveur du ferroviaire dans un contexte de forte hausse du prix des carburants, le transport ferroviaire a toujours montré sa capacité à être un puissant vecteur d’aménagement du territoire et un levier incontournable de la transition écologique.

Le transport ferroviaire est le mode de transport le mieux adapté particulièrement en zone de moyenne montagne. Il est rapide, confortable, sécurisé par tous les temps, économique, écologique, facteur d’attractivité et véritable produit de l’économie locale. Un atout maître dans le contexte actuel.

Nous demandons la réouverture du tronçon Thiers- Boën pour offrir une liaison directe digne de ce nom entre les deux métropoles régionales voisines Clermont-Ferrand et Saint-Étienne.

Cette liaison ferroviaire est essentielle pour faciliter le lien entre les métropoles régionales et les zones rurales, par exemple l’accès aux soins hospitaliers ou aux centres universitaires.

L’État et la région Auvergne Rhône-Alpes doivent y appliquer le principe de l’égalité de traitement des citoyens en matière de mobilités et d’équité territoriale comme le rappelle la Loi d’Orientation des Mobilités (LOM).

Mobilisons-nous pour que soit réparée en urgence la plus consternante et absurde suspension ferroviaire française de ce début de 21ème siècle entre Clermont-Ferrand et Saint-Étienne, les deux seules métropoles françaises qui ne soient pas reliées entre elles.

Accompagnons la dynamique et le renouveau en faveur du train, en se mobilisant toutes et tous pour réparer cette fracture territoriale et sociale à l’heure où l’urgence climatique et la complémentarité des bassins de vie sont au cœur des préoccupations de chacun.

Cette véritable colonne vertébrale des mobilités bas carbone doit être au service d’une équité territoriale digne et durable au cœur de la région Auvergne-Rhône-Alpes pour 1 million d’habitants.

Retrouvez nous sur les réseaux sociaux: 

Le train, colonne vertébrale des mobilités, puissant vecteur d’aménagement du territoire entre 3 grandes métropoles de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et levier incontournable de la transition écologique et sociale.

Ce que l’on pense du #trainléger – @auvergnerhalpes @JPFarandou @Aguilera_Fred @SNCFReseau @CeremaCom @Djebbari_JB

Le sujet du train léger est un thème qui fait débat depuis très longtemps. Adopter une position manichéenne ne nous semble pas la meilleure des réponses. C’est pourquoi nous proposons de nous pencher sur le sujet de manière non exhaustive sans volonté de se substituer à un cabinet d’études plus compétent en la matière.

Pour commencer, des éléments factuels doivent être pris en compte. Le projet de réouverture de Boën Thiers comporte 2 volets principaux : la réouverture du tronçon de 48 km (territoire rural, peu dense) mais également la réouverture de la liaison Clermont-Ferrand Saint-Étienne qui constitue un cas d’école unique en France (les 2 seules métropoles françaises de plus de 300 000 habitants qui ne soient pas reliées entre elles au sein d’une seule et même unique région qui a fusionné en 2016).

 1er volet : Section Boën Thiers.

Cette section était la moins fréquentée avant la suspension de la liaison Clermont-Ferrand Saint-Étienne. Les autorails X73500 qui ont circulé les dernières années sur cette section sont aujourd’hui les plus adaptés (ils circulent toujours entre Thiers et Clermont-Ferrand et Saint-Étienne Boën). Ce n’est certes pas du train léger mais il s’agit d’un matériel de référence pour des lignes desservant les territoires ruraux : outre leurs 80 places, ils disposent d’un espace confortable suffisant pour accueillir les passagers, des bagages et quelques vélos, tout ce que les concepts en cours de développement auront bien du mal à intégrer avec autant d’efficacité. On sait que ça marche, ce matériel a déjà fait ses preuves. Reste à le remplir mais là on en revient à la problématique de l’offre avant tout.

2ème volet : Ligne Clermont-Ferrand Saint-Étienne.

La solution Taxirail (voir lien ci-après) :

Favoriser le report modal entre ces 2 métropoles où circulent plusieurs dizaines de milliers de véhicules sur l’autoroute chaque jour le long des 145 km nous semble inadaptée voire même hors-sujet (Taxirail offre une capacité assise légère, sécurité légère, vitesse « légère », durée de vie légère). De plus, la circulation de trains légers doit à notre sens ne pas se faire au détriment de la circulation de trains classiques notamment du fret lourd avec l’infrastructure adaptée.

En conclusion, la solution Taxirail ne nous semble pas pertinente pour l’ensemble des raisons évoquées ci-dessus (40 places voyageurs, DONT 7 PLACES ASSISES et 2 pour les fauteuils roulants sans toilettes, un confort plutôt rudimentaire). On attend de voir comment Taxirail se comportera en plein hiver entre Boën et Thiers avec neige sur une section de ligne techniquement difficile pour ce type d’engin…

De surcroit une solution train léger uniquement sur la section suspendue impliquerait une rupture de charge (changer de train) à l’arrivée à Thiers.

Le train léger contrairement aux idées reçue a besoin d’une infrastructure en bon état… justement parce qu’il est léger et que les défauts de voie se répercuteraient sur la structure de caisse des trains. La pertinence du train léger doit tenir compte à la fois de l’état de la voie et du poids du train. Si on devait faire une comparaison, faire de la luge sur de la neige ça passe, sur du béton c’est plus difficile…

Tout laisse à penser que le train léger est à première vue une solution plus économique, en fait ce n’est pas aussi évident que cela (intégration du cout marginal à prendre en compte, amortissement, cout d’entretien, etc…)

Parmi les différentes solutions légères, une nouvelle solution vient d’émerger, c’est l’Écotrain. Cette solution à notre sens mérite d’être étudiée :

 

Il faudra cependant résoudre problèmes de compatibilité de signalisation, de sécurité ferroviaire et d’intégration avec les trains classiques qui circuleront entre Clermont-Ferrand et Saint-Étienne mais ne résout pas le problème de rupture de charge.

Il y a également la solution DRAISY de la SNCF proche de l’Écotrain.

Sur Boën Thiers, les autorails X73500 font très bien l’affaire par tous les temps (hors catastrophes naturelles bien évidemment et problèmes de shuntage), reste la solution Écotrain que nous avons évoqué qui reste à creuser et qui se rapproche du matériel qui a circulé jusqu’en 2016 et qui pourra atteindre la vitesse limite sur la section Boën Thiers, à savoir 80-85 km/h.

Enfin, une offre pour qu’elle soit attractive sur Clermont-Ferrand Saint-Étienne, doit être capacitaire, rapide, cadencée confortable et économique, intégrée dans un schéma intermodal dans un contexte de forte augmentation durable du prix de l’essence. Le train léger n’y a tout naturellement pas sa place.

Toutes les tentatives de trains légers (déjà expérimentées) n’ont pas permis de résoudre l’attractivité des territoires, beaucoup d’échecs. Le problème, c’est l’infrastructure du réseau et (donc) aussi l’offre proposée (cf Boën Thiers en 2016). Quant à ces nouvelles solutions train léger du 21ème siècle, nous n’avons aucun recul. Double raison de rester très prudent voire à l’écart.

L’une des priorités c’est de favoriser le report modal de la voiture vers une mobilité techniquement plus écologique dans un contexte de prise de conscience énergétique et de bouleversement dans le paysage des mobilités avec du matériel qui tient… le rail.

L’étude en cours va analyser entre autres les dynamiques territoriales et proposera la meilleure solution technique pour y répondre. Tout sera mis sur la table à la fois sur Boën Thiers ET Clermont-Ferrand Saint-Étienne.

Retrouvez nous sur les réseaux sociaux: 

Le train, colonne vertébrale des mobilités, puissant vecteur d’aménagement du territoire entre 3 grandes métropoles de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et levier incontournable de la transition écologique et sociale.

SUD RAIL Auvergne Nivernais – “L’accès au train doit être gratuit” @auvergnerhalpes @solidaires63 @sudrail63

SUD RAIL Auvergne Nivernais – “L’accès au train doit être gratuit” lors de la Grande Marche du Train – 26 mars 2022 – Gare de Clermont-Ferrand

Alors que nous assistons à un véritable bouleversement dans le paysage des mobilités, une prise de conscience environnementale et des attentes fortes sur le report modal en faveur du ferroviaire dans un contexte de forte hausse du prix des carburants, le transport ferroviaire a toujours montré sa capacité à être un puissant vecteur d’aménagement du territoire et un levier incontournable de la transition écologique.

Le transport ferroviaire est le mode de transport le mieux adapté particulièrement en zone de moyenne montagne. Il est rapide, confortable, sécurisé par tous les temps, économique, écologique, facteur d’attractivité et véritable produit de l’économie locale. Un atout maître dans le contexte actuel.

Nous demandons la réouverture du tronçon Thiers- Boën pour offrir une liaison directe digne de ce nom entre les deux métropoles régionales voisines Clermont-Ferrand et Saint-Étienne.

Cette liaison ferroviaire est essentielle pour faciliter le lien entre les métropoles régionales et les zones rurales, par exemple l’accès aux soins hospitaliers ou aux centres universitaires.

L’État et la région Auvergne Rhône-Alpes doivent y appliquer le principe de l’égalité de traitement des citoyens en matière de mobilités et d’équité territoriale comme le rappelle la Loi d’Orientation des Mobilités (LOM).

Mobilisons-nous pour que soit réparée en urgence la plus consternante et absurde suspension ferroviaire française de ce début de 21ème siècle entre Clermont-Ferrand et Saint-Étienne, les deux seules métropoles françaises qui ne soient pas reliées entre elles.

Accompagnons la dynamique et le renouveau en faveur du train, en se mobilisant toutes et tous pour réparer cette fracture territoriale et sociale à l’heure où l’urgence climatique et la complémentarité des bassins de vie sont au cœur des préoccupations de chacun.

Cette véritable colonne vertébrale des mobilités bas carbone doit être au service d’une équité territoriale digne et durable au cœur de la région Auvergne-Rhône-Alpes pour 1 million d’habitants.

Retrouvez nous sur les réseaux sociaux: 

[THIERS-BOËN] En Auvergne, prendre les transports en commun relève du parcours du combattant. TF1 – 3 MAI 2022 @auvergnerhalpes @laurentwauquiez @JPFarandou @Aguilera_Fred @TF1 @TF1Info

Retrouvez notre passage au JT de TF1 ce 3 mai 2022.

    • T F1 | Reportage N. Gandillot, V. Pierron.

Source :

Les Chemins de fer de Provence menacés. Une trajectoire identique avant la fermeture de Boën Thiers en 2016 – @RenaudMuselier @CPZouOfficiel

Les Chemins de fer de Provence menacés. Une trajectoire identique avant la fermeture de Boën Thiers en 2016.

Une fois n’est pas coutume, nous apportons notre soutien aux Chemins de Fer de Provence qui sont en proie à une logique comptable et court-termisme qui se moque de l’aménagement des territoires et des enjeux environnementaux actuels.

La rentabilité doit-elle primer sur l’aménagement du territoire et la possibilité de déplacement offerte aux habitants des vallées desservies par les chemins de fer de Provence ? (pétition)

Tous les prétextes sont bons pour justifier une réduction de l’offre avec à chaque fois la même logique : se servir d’ événements qui ont fait baisser la fréquentation (travaux, COVID, etc..)  pour supprimer des trains. Mais sans volonté de proposer une offre attractive qui crée la demande et permet de soutenir la vie et l’économie locale d’un territoire.

Cela fait des mois voire des années que notre direction de concert avec la Région supprime des trains, ferme des gares sous prétexte du Covid, maladie, congés ou manque de matériel roulant.

Les Suisses ont une maxime qui veut que, pour les lignes secondaires, il existe deux alternatives :

    • soit supprimer la ligne,
    • soit remplir les trains et mieux utiliser l’infrastructure,

avec une préférence évidente pour la seconde option.

Or aujourd’hui, en France, nombreux sont ceux qui préfèrent la première avant même d’avoir étudié sérieusement les possibilités de la seconde. Forcément, c’est plus facile et nécessite moins d’imagination…

Par ailleurs, une gestion calamiteuse de l’exploitant est également mis en avant dans la pétition ci-dessous que nous vous invitons à signer :

Quand on veut tuer son chien on l’accuse de la rage.

Retrouvez nous sur les réseaux sociaux: 

Le train, colonne vertébrale des mobilités, puissant vecteur d’aménagement du territoire entre 3 grandes métropoles de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et levier incontournable de la transition écologique et sociale.

François PELLETIER – Orbimob’ “Il y a un alignement des planètes favorable au train”. @auvergnerhalpes @laurentwauquiez @ThomasAllary @Aguilera_Fred @EmmanuelMacron @Orbimob

 

François PELLETIER – Orbimob’- lors de la Grande Marche du Train le 26 Mars 2022.

Alors que nous assistons à un véritable bouleversement dans le paysage des mobilités, une prise de conscience environnementale et des attentes fortes sur le report modal en faveur du ferroviaire dans un contexte de forte hausse du prix des carburants, le transport ferroviaire a toujours montré sa capacité à être un puissant vecteur d’aménagement du territoire et un levier incontournable de la transition écologique.

Le transport ferroviaire est le mode de transport le mieux adapté particulièrement en zone de moyenne montagne. Il est rapide, confortable, sécurisé par tous les temps, économique, écologique, facteur d’attractivité et véritable produit de l’économie locale. Un atout maître dans le contexte actuel.

Nous demandons la réouverture du tronçon Thiers- Boën pour offrir une liaison directe digne de ce nom entre les deux métropoles régionales voisines Clermont-Ferrand et Saint-Étienne.

Cette liaison ferroviaire est essentielle pour faciliter le lien entre les métropoles régionales et les zones rurales, par exemple l’accès aux soins hospitaliers ou aux centres universitaires.

L’État et la région Auvergne Rhône-Alpes doivent y appliquer le principe de l’égalité de traitement des citoyens en matière de mobilités et d’équité territoriale comme le rappelle la Loi d’Orientation des Mobilités (LOM).

Mobilisons-nous pour que soit réparée en urgence la plus consternante et absurde suspension ferroviaire française de ce début de 21ème siècle entre Clermont-Ferrand et Saint-Étienne, les deux seules métropoles françaises qui ne soient pas reliées entre elles.

Accompagnons la dynamique et le renouveau en faveur du train, en se mobilisant toutes et tous pour réparer cette fracture territoriale et sociale à l’heure où l’urgence climatique et la complémentarité des bassins de vie sont au cœur des préoccupations de chacun.

Cette véritable colonne vertébrale des mobilités bas carbone doit être au service d’une équité territoriale digne et durable au cœur de la région Auvergne-Rhône-Alpes pour 1 million d’habitants.


OrbiMob’ est un partenaire majeur pour la réouverture de la liaison ferroviaire

Clermont-Ferrand Saint-Étienne dans sa continuité par le rétablissement de la section Boën Thiers suspendue depuis 2016.

OrbiMob’ est l’ambition collective d’un territoire, celui de la métropole clermontoise et de l’Auvergne, qui se lance le défi de devenir, en 6 ans, un pôle de référence dans les domaines de l’éducation, de la recherche, de l’expérimentation, du développement économique et de la mobilisation citoyenne sur la mise en place de mobilités territoriales performantes et durables.

Merci pour leur soutien !

    • Patrick OLIVA, instigateur du projet nous présente Orbimob’ :

 

À l’heure où le prix de l’énergie flambe (..), le train mérite de retrouver sa juste place, dans le cœur de l’État et au plus profond du pays. @auvergnerhalpes @laurentwauquiez @JPFarandou @Aguilera_Fred

La très faible résistance au roulement sur le rail fait du train un des moyens de transport les plus économes en énergie, loin devant la voiture, l’avion, la moto et le bus.

Pour des raisons budgétaires, mais aussi idéologiques, l’État a supprimé des milliers de kilomètres de lignes dans les années 1970 au profit des grands programmes autoroutiers.

Un article complet à retrouver sur:

Pierre POMMAREL- Porte-parole de la FNAUT “L’offre proposée par la région est totalement indigente” @laurentwauquiez @auvergnerhalpes @fnaut_aura @AutaFnaut

Pierre POMMAREL – Porte-parole de la FNAUT lors de la Grande Marche du Train le 26 Mars 2022.

Alors que nous assistons à un véritable bouleversement dans le paysage des mobilités, une prise de conscience environnementale et des attentes fortes sur le report modal en faveur du ferroviaire dans un contexte de forte hausse du prix des carburants, le transport ferroviaire a toujours montré sa capacité à être un puissant vecteur d’aménagement du territoire et un levier incontournable de la transition écologique.

Le transport ferroviaire est le mode de transport le mieux adapté particulièrement en zone de moyenne montagne. Il est rapide, confortable, sécurisé par tous les temps, économique, écologique, facteur d’attractivité et véritable produit de l’économie locale. Un atout maître dans le contexte actuel.

Nous demandons la réouverture du tronçon Thiers- Boën pour offrir une liaison directe digne de ce nom entre les deux métropoles régionales voisines Clermont-Ferrand et Saint-Étienne.

Cette liaison ferroviaire est essentielle pour faciliter le lien entre les métropoles régionales et les zones rurales, par exemple l’accès aux soins hospitaliers ou aux centres universitaires.

L’État et la région Auvergne Rhône-Alpes doivent y appliquer le principe de l’égalité de traitement des citoyens en matière de mobilités et d’équité territoriale comme le rappelle la Loi d’Orientation des Mobilités (LOM).

Mobilisons-nous pour que soit réparée en urgence la plus consternante et absurde suspension ferroviaire française de ce début de 21ème siècle entre Clermont-Ferrand et Saint-Étienne, les deux seules métropoles françaises qui ne soient pas reliées entre elles.

Accompagnons la dynamique et le renouveau en faveur du train, en se mobilisant toutes et tous pour réparer cette fracture territoriale et sociale à l’heure où l’urgence climatique et la complémentarité des bassins de vie sont au cœur des préoccupations de chacun.

Cette véritable colonne vertébrale des mobilités bas carbone doit être au service d’une équité territoriale digne et durable au cœur de la région Auvergne-Rhône-Alpes pour 1 million d’habitants.

Retrouvez nous sur les réseaux sociaux: 

Le train, colonne vertébrale des mobilités, puissant vecteur d’aménagement du territoire entre 3 grandes métropoles de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et levier incontournable de la transition écologique et sociale.

« Nous considérons qu’il ne peut y avoir des usagers confinés territorialement ». @auvergnerhalpes @laurentwauquiez @JPFarandou @Aguilera_Fred

Face à l’augmentation du prix de l’essence, Jean-Luc Gibelin et Renaud Lagrave, vice-présidents chargés des transports en Nouvelle-Aquitaine et Occitanie demandent, dans une tribune au « Monde » que l’Etat tienne ses engagements en faveur de SNCF Réseau pour l’entretien des lignes de chemin de fer et qu’il investisse comme le fait l’Allemagne.

 Les rapports alarmants se succèdent. Le réseau ferroviaire français est au bord de la rupture.

Les collectivités locales et prioritairement les régions sont appelées de plus en plus régulièrement à la rescousse pour boucler les plans de financement alors que ce n’est pas leur compétence

La notion de « desserte fine », véritable aiguillage sémantique, est le sas imaginé par quelques technocrates pour renvoyer la balle aux régions et concerne des lignes du quotidien et structurantes. Il est parfois même dit que ce sont des « petites lignes ».

Aujourd’hui, le montant annuel de rénovation du réseau de moins de 2,9 milliards d’euros est très inférieur au montant estimé et prévu dans la loi d’orientation des mobilités, sans commune mesure aussi avec les 86 milliards d’euros annoncés par l’Allemagne pour les dix prochaines années avec un réseau comparable.

De plus, l’augmentation prévue des péages à hauteur de +3,6 % par an (+2,2 % en 2022 et +0,5 % en 2021) devient insoutenable : il est annoncé aux régions que ce sera plus cher, pour la même chose, voire moins bien.

Quand une ligne est « suspendue », ce qui signifie « fermée » dans le jargon de la SNCF, les moyens pour la rouvrir s’accroissent chaque jour et deviennent une justification de l’Etat pour ne pas le faire.

Nous considérons qu’il ne peut y avoir des usagers confinés territorialement, condamnés à regarder passer des trains au pas pour finir dans des bus Macron. La mobilité est une revendication forte de nos concitoyens.

La France investit deux fois moins que l’Allemagne et l’Italie, six fois moins que la Suisse, cinq fois moins que l’Autriche, quatre fois moins que le Danemark ou la Suède, trois fois moins que les Pays-Bas ». Il va même plus loin en expliquant que « le seul report de 10 % de la part modale de fret et voyageurs de la route au rail remplirait 22 % à 33 % de l’objectif de décarbonation des transports de la France ».

Un article complet à retrouver sur (articlé réservé aux abonnés) :

Retrouvez nous sur les réseaux sociaux: 

Le train, colonne vertébrale des mobilités, puissant vecteur d’aménagement du territoire entre 3 grandes métropoles de la Région Auvergne-Rhône-Alpes et levier incontournable de la transition écologique et sociale.