Le grand débat national mené en 2019 a mis en évidence les difficultés de la mobilité en dehors des grandes agglomérations. Pour y répondre, des propositions émergent pour une offre de transport public de qualité dans les zones rurales et périurbaines. A ce titre, de nouvelles solutions voient le jour autour du rail.
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- Les habitudes de déplacements des Français restent très marquées par l’utilisation de la voiture individuelle
- Les investissements dans les routes et les dessertes ferroviaires de grandes villes ont délaissé les « petites lignes »
- L’état du réseau souffre du sous-investissement
- Cette réduction des dessertes contraste avec le besoin accru de mobilité
- La volonté de débattre des « petites lignes » est présente à la SNCF comme au Gouvernement
- Les Conseils régionaux sont à l’avant-garde des politiques pour les dessertes fines
- Agir dans des contextes variés
- La classification des lignes de chemin de fer prête à discussion
- S’assurer de la pertinence du transport ferroviaire
- Le car doit être vu comme un complément au train, pas comme un concurrent
- Parier sur l’augmentation de l’offre
- Le système de redevances d’infrastructure devrait inciter au développement de l’offre
- Le transport ferroviaire doit prendre en compte la variété des publics : actifs, retraités, scolaires, touristes
- La gouvernance : un besoin de compétences locales
- Limiter les frais liés à l’infrastructure
- L’exemple concret des passages à niveau : le Gouvernement souhaite des normes assouplies pour une meilleure efficacité
- La piste du cofinancement de l’infrastructure
- Limiter les frais liés au matériel roulant
- Mettre en place une politique de polyvalence permet de développer l’offre de service à moyens constants
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